| RYLE A. GOLYNKINA K.Effectiveness of time-limited cognitive analytic therapy of borderline personality disorder: factors associated with outcome.
Br. J. Med. Psychol.2000 ; 73 ( Pt 2) : 197-210 |
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| resumé fr: La plupart des patients avec troubles de la personnalité borderline ne reçoivent pas de traitement formel pour leur trouble de la personnalité et la psychothérapie est largement considérée comme devant être nécessairement intensive, de longue durée et produisant un effet incertain. Cette étude cherche à démontrer l’étendue et les limites de la psychothérapie analytique cognitive brève pour des patients ambulatoires. Les cas ont été identifiés par des procédures standard de diagnostic. La plupart étaient adressés par des psychiatres et étaient typiques des populations de la ville intérieure. Au cours d’une évaluation à 6 mois de 27 patients ayant terminé leur psychothérapie nous les avons divisés en groupes “amélioré” et “non amélioré”. Les patients classés comme améliorés ne réunissaient plus les critères de troubles de la personnalité borderline. Les deux-tiers des patients qui étaient toujours accessibles ont été re-testés à 18 mois. Ces groupes ont été comparés suivant un certain nombre de mesures de pré-thérapie. Un résultat plus faible a été obtenu avec une plus grande sévérité des traits border-line, une histoire d’auto- destruction, l’abus d’alcool et l’absence d’emploi. |
| resumeang: Most patients with borderline personality disorder receive no formal treatment for their personality disorder and psychotherapy is widely believed to be necessarily intensive, of long duration and of uncertain effect. This study seeks to demonstrate the scope and limits of time-limited outpatient cognitive analytic psychotherapy. Cases were identified by standard diagnostic procedures. Most were referred from psychiatrists and were typical of inner city patient populations. At an assessment 6 months after therapy the 27 patients completing therapy were divided into 'improved' and 'unimproved' groups. The patients classified as improved no longer met diagnostic criteria for borderline personality disorder. The two-thirds still traceable were re-tested at 18 months. These groups were compared in terms of a number of pre-therapy measures and features. Poorer outcome was associated with greater severity of borderline features, a history of self-cutting, alcohol abuse and unemployment. |
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