| PARKER G, FLETCHER KTreating depression with the evidence-based psychotherapies: a critique of the evidence..
Acta Psychiatr Scand. 2007 May ; 115(5) : 352-359 |
| titre fr: Traiter la dépression avec les psychothérapies fondées sur les preuves : une critique des preuves. |
| resumé fr: Objectifs : Alors que la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) et la thérapie interpersonnelle (TI) ont été situées comme des traitements de premier choix, fondés sur les preuves, pour la dépression, nous suggérons que les limites aux « preuves » méritent une plus grande appréciation. Méthode : une recherche systématique dans la littérature a été entreprise et les limites à la base de preuves ont été discutées. Résultats : la revue suggère que la spécificité des traitements par TCC et par TI est encore à démontrer et détaille les raisons probables. Conclusion : la supériorité de la TCC et de la TI peut être bien démontrée pour des circonstances définies et non universelles. Pour atteindre cet objectif, la recherche de résultat devrait aller plus loin que se contenter de tester les traitements comme s’ils avaient une application universelle aux catégories de troubles hétérogènes. Les résultats ont des répercussion distinctes pour la gestion clinique des troubles dépressifs et particulièrement par rapport à l’utilité de la psychothérapie. |
| resumeang: Objective: While Cognitive Behaviour Therapy (CBT) and Interpersonal Therapy (IPT) have been positioned as first-line evidence-based treatments for depression, we suggest that limitations to the 'evidence' deserve wider appreciation. Method: A systematic literature search was undertaken, and limitations to the evidence base discussed. Results: The review suggests that the specificity of CBT and IPT treatments for depression has yet to be demonstrated and details likely reasons. Conclusion: The superiority of CBT and IPT may well be able to be demonstrated across defined rather than universal circumstances. To achieve this aim, outcome research should move away from testing treatments as if they have universal application for heterogeneous disorder categories. Findings have distinct implications for the clinical management of depressive disorders, and particularly in relation to the utility of psychotherapy. |
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