Caractériser et Comprendre le Processus de Changement d’une Psychothérapie Complexe *

Modélisation des processus, mécanismes et conditions des changements associés à la psychothérapie de 66 enfants et adolescents présentant des troubles du spectre autistique

Jean-Michel Thurin ©

Chapitre 2

2.5. Processus & Q Méthodologie

Depuis les années 1990, l’intégration du processus dans les études d’efficacité est apparue nécessaire pour préciser les facteurs et les ingrédients à partir desquels les résultats sont obtenus. Le manque de précision des résultats issus des essais cliniques a ouvert le domaine des processus et des mécanismes de changement. Les instruments permettant de décrire le processus sont devenus indispensables. Parmi ces instruments, le Psychotherapy Process Q-set (PQS) a pris une place centrale. Il a été suivi par le Child Psychotherapy Process Q-set qui est utilisé dans le RRFPP avec les enfants. Leur utilisation étendue montre que l’on peut relever les qualités suivantes de l’instrument : son caractère pan théorique, sa qualité clinique qui a facilité son adoption rapide par des cliniciens exigeants et initialement rétifs à s’engager dans la recherche, et le caractère favorisant qu’il suscite d’un travail en groupe de pairs permettant des discussions approfondies en relation aux données. Le CPQ emprunte la méthodologie du Q-sort. Cette méthodologie, mise au point par W. Stephenson (1953) repose sur la cotation et le classement d’un ensemble de formulations descriptives qui concernent un objet particulier (c’est ici, la psychothérapie). Le classement fait ressortir ce qui apparaît être le plus et le moins caractéristique pour le cotateur d’une séance de psychothérapie dans l’éventail des énoncés qui lui sont soumis, en respectant une distribution normale des 100 énoncés.

Présentation du CPQ par son auteur (Schneider et al. 2009)

Suivant Schneider et al. (2009) ,

« le développement du Q-set de la psychothérapie infantile (CPQ; Schneider & Jones 2004) est conçu pour les enfants âgés de 3 à 13 ans. Afin d'assurer une plus grande fiabilité, un manuel de cotation fournit des définitions claires et des exemples de chaque élément reflétant des caractéristiques qui peuvent être évaluées à l'aide de bandes vidéo de séances de psychothérapie d'enfants - en recherchant toujours un équilibre délicat entre ce qui est observable et ce qui doit être inféré.

L'instrument se compose de 100 items avec des énoncés qui représentent une sélection parmi un ensemble d'items sélectionnés à partir d’une revue approfondie de la littérature concernant la psychothérapie de l’enfant (y compris les méthodes de traitement validées empiriquement, ainsi que les approches psychanalytiques), les instruments de processus existants et les adaptations du PQS pour adultes. Le projet de développement de l'instrument a duré quatre ans et a comporté un processus récursif de construction d'items, et de pilotage pour la validité clinique et de reconstruction d'items. Chacune des études de développement du CPQ a mutuellement informé l'autre et des modifications aux items et au manuel ont été réalisées après examen des résultats en cours de route. Les items initiaux, tirés d'un examen approfondi de la littérature sur la psychothérapie infantile, ont été examinés par des cliniciens expérimentés représentant divers points de vue théoriques (y compris TCC, psychanalytique et psychodynamique) qui ont fourni des commentaires sur la clarté, la redondance, la couverture et la représentativité des items.

Pour établir la validité d'un item chez différents enfants, dans différents modes de psychothérapie, les membres du Groupe de recherche sur la psychothérapie de Berkeley ont utilisé le CPQ révisé pour décrire le processus dans vingt vidéocassettes de thérapie d'enfants représentant les traitements des comportements cognitifs, psychodynamiques et psychanalytiques. Une matrice de corrélation des items issus de ces évaluations a identifié les items qui ont démontré peu de variance entre les cas (qui ne parvenaient pas à différencier les sujets) et qui étaient redondants avec d'autres éléments.

Pris dans leur ensemble, les items du CPQ représentent un large éventail de caractéristiques des enfants et des thérapeutes. La procédure de cotation est relativement simple. Après avoir étudié les bandes vidéo de la thérapie d'enfants et en arrivant à une certaine formulation du matériel, les évaluateurs classent les 100 items du CPQ dans une des neuf catégories, en mettant à une extrémité les items jugés les plus caractéristiques ou saillants du matériel, et à l'autre extrémité les items que l'on considère être les plus remarquablement inhabituels. Un nombre fixe d'items est placé dans chaque catégorie, avec plus d'items placés au centre, ce qui reflète des items moins ou non descriptifs par rapport à ceux placés aux extrémités de la distribution.

Les évaluateurs s'engagent dans un processus méta-analytique qui se déplace entre l'intuition, la conceptualisation et les indices objectifs au sein de la séance. C'est le mouvement nécessaire de l'évaluateur entre la formulation et l'observation qui offre une description du processus au-delà de la simple identification du comportement. Comme l'évaluateur met l'accent sur les éléments spécifiques du CPQ pour décrire une séance, une mosaïque de schémas thérapeutiques commence à émerger. Cette mosaïque aidera à décrire le processus interactif entre le thérapeute et l'enfant dans des voies qui peuvent ne pas avoir été consciemment dans l'esprit ou la formulation du thérapeute ou de l'évaluateur.

Alors que le CPQ peut être utilisé pour fournir un «instantané» des processus thérapeutiques, un portrait plus dynamique du travail thérapeutique impliquerait des facteurs de traçage, des regroupements d'items ou des structures d'interaction (Jones 2000) qui émergent au fil du temps à l'aide de techniques d'analyse factorielle, mises en évidence dans la recherche réalisée par Jones et ses collègues (Jones 2000 , Schneider & Midgley 2010 ). Même lorsqu'ils sont utilisés de façon sophistiquée, il existe une myriade de dynamiques et de nuances au sein des séances que les cotations-Q ne peuvent pas capturer. Cependant, comme un autre courant d'inférence clinique, les cotations-Q peuvent contribuer au dialogue complexe que chaque cas évoque et peut nous aider à réaliser une investigation systématique de la pratique clinique.

Les énoncés sont indépendants. Il n'y a pas de structure factorielle de l'instrument lorsqu'il n'est pas appliqué à un objet particulier (Jones 1988). Les énoncés portent sur : 1) le fonctionnement de l'enfant, sa relation transférentielle avec le thérapeute et sa participation à la thérapie (42 items) ; 2) l'approche et la technique du thérapeute (42 items) ; l'interaction thématique entre le thérapeute et l'enfant (16 items). Les énoncés ont été constitués de manière à être équilibrés (c’est-à-dire qu’ils peuvent être mis en tension entre eux), sans que, pour autant, un énoncé soit strictement la formulation négative d’un autre (par exemple : « L’enfant est socialement désaccordé ou décalé » versus « l’enfant est attentif aux interactions sociales et y répond avec pertinence»).

Commentaire : Le CPQ et son manuel sont traduits et validés en Français (Thurin, Thurin & Schneider 2010). Un petit logiciel de cotation via internet l'accompagne. C'est un instrument qui permet une desciption fine, utilisable pour décrire une attitude caractéristique du thérapeute ou de l'enfant, pour une analyse séquentielle voir cas pxxx. Les thérapeutes reconnaissent l'enfant et son fonctionnement à partir de l'analyse des cotations.

Analyse factorielle Q et analyse factorielle R

Dans les conditions habituelles de son utilisation, le Q-sort est associé à l’analyse factorielle Q. Alors que l’analyse factorielle R permet de révéler des facteurs communs dans un ensemble de variables (pour trouver, par exemple, une variable latente sous-jacente), l’analyse factorielle Q révèle les facteurs communs à partir des différentes manières de « trier les variables », qui définissent le mieux une orientation philosophique ou politique partagée par certains membres d'un groupe alors que d'autres effectueront un autre tri révélant une autre référence [ou une approche, comme dans le cas des psychothérapies]. Cet exercice distingue une ou plusieurs opinions ou références théoriques parmi les cotateurs à partir d’éléments caractéristiques du contenu du texte ou de l’enregistrement examiné. Les tris présentant des points de vue similaires partageront le même facteur.

Dans le champ des psychothérapies, c’est la méthode utilisée par Ablon et Jones (2002, 2004) pour établir les prototypes des approches psychodynamique, cognitivo-comportementale et autres à partir du PQS. Des experts de chaque approche ont sélectionné les items qui leur semblaient le mieux correspondre à une séance idéale réalisée suivant leur référence théorique. Il en résulte un tri particulier partagé correspondant à chaque approche. L’étape suivante est alors celle d’une corrélation avec les scores de séances réalisées dans la pratique qui, de ce fait, partagent plus ou moins d'éléments avec la "séance prototype ».

Plus précisément, la création des prototypes a été décrite par Ablon et Jones (2004) de la façon suivante :

  • « Les prototypes ont été créés en utilisant une méthode statistique à petit échantillon pour étudier les points de vue, quelquefois appelée "technique-Q" ou analyse factorielle de type Q (Stephenson, 1953 ; McKeown & Thomas, 1988). Cette stratégie donne accès à la structure d'un discours, définissant les segments d'opinion et soulignant leurs similarités et différences.
  • Les répondants (dans ce cas, les psychanalystes ou les cognitivo-comportementalistes experts) expriment leurs points de vue en classant les formulations représentant un certain domaine de discours (dans ce cas, les 100 items du PQS).
  • Les corrélations entre les Q-sorts des psychanalystes indiquent la similarité (ou la dissimilarité) des points de vue que ces Q-sorts représentent. Contrairement à l'analyse factorielle R plus familière, cette approche de l'analyse factorielle corrèle un petit nombre de sujets à un grand nombre d'items. En d'autres termes, l'analyse factorielle de type Q examine les relations entre un petit nombre de sujets (dans ce cas, les psychanalystes experts) avec un grand nombre de variables (dans ce cas, les 100 items du PQS). Afin de réaliser cette analyse factorielle de type Q, la matrice de données à été transposée de telle façon que les 11 analystes experts représentent les variables à corréler aux 100 items du PQS.
  • Pour fournir un ensemble contrasté de réponses au Q-set, 10 thérapeutes experts d'orientation cognitivo-comportementale ont été sollicités pour décrire une séance idéale de thérapie, suivant la perspective de leur orientation ».

La méthode des prototypes a été notamment appliquée pour distinguer les approches réellement mises en oeuvre au cours de la grande étude comparative sur la dépression engagée par le NIMH (Ablon & Jones 2002). On en trouve un autre exemple d’application dans la corrélation avec les prototypes réalisée par Pierrehumbert (1995a et 1995b p 296 ) qui examine la perception parentale des fonctionnements de leur enfant en relation avec l’attachement. Selon la méthode de Waters et Deane, les auteurs ont corrélé chaque Q-Sort parental avec le Q-Sort moyen des 83 experts décrivant un enfant secure (corrélation « Q »). L'indice de corrélation représente alors le degré de ressemblance de la description fournie par le parent, avec un enfant conceptuellement secure.
Un autre article intéressant sur l’utilisation du Q-sort dans le domaine de la santé est celui de Kuhne, N., Abernot, Y., & Camus, D. (2008), « Le Q-sort, un outil pour la recherche en soins. Le cas des représentations chez les infirmiers en psychiatrie de l'âge avancé ». Recherche en soins infirmiers, 95, 46-56.

Le Q-sort peut également donner lieu à des analyses factorielles R classiques. Ce sont alors les corrélations entre les Q-sorts des différentes psychothérapies à différents temps qui sont examinées. C’est la méthode principale d’analyse appliquée dans la recherche présentée dans cette thèse. L'indice de corrélation avec les protoypes est également utilisé pour décrire le degré de ressemblance à différents temps de la psychothérapie menée avec l'approche psychodynamique ou cognitivo-comportementale.

Une mise en relation de la méthodologie du Q-sort développée par W. Stephenson avec son application à partir du CPQ a été présentée dans un poster à Klagenfurt dans le cadre d’un congrès du Chapitre Européen de la Society for Psychotherapy Research.

Une autre mise en relation, très détaillée, a été réalisée à partir d’un enseignement de la méthode par Brown 1991. Traduction française.

Commentaire : le CPQ est utilisé sous les deux modes dans le RRFPP : 1) La méthodologie Q est utilisée par chacun des 3 cotateurs participant à un groupe de pairs. La discussion inter-cotateurs, avec retour aux données en cas de désaccord, qui suit cette cotation individuelle conduit à une cotation partagée (consensus) qui devient la cotation validée. Les « opinions » individuelles de départ sont devenues une opinion partagée « fondée » ; 2) L’ensemble des cotations des cas donne lieu à une analyse factorielle qui permet de déceler des analogies inter-psychothérapies suivant le degré d'adéquation de chaque psychothérapie avec les facteurs émergents (voir Chapitre 3).

Exemples d’utilisation de la méthodologie du Q-sort en psychothérapie

La revue de littérature concernant les études impliquant le PQS dont est issu le CPQ (Thurin, M. 2012) est en annexe. Les études qui se référent à des études de cas isolés et à des études de groupes sont distinguées.

À partir d'études de cas individuels
  • 1988. Extraire des configurations s'inscrivant dans un cadre général (facteur commun / facteurs spécifiques) ou ayant une signification particulière. Établir la liste des items qui ont le plus varié, du caractéristique au non caractéristique et inversement. Dans l'article de 1988, cas du patient B.
  • 2005. Définir et suivre l'évolution de la structure d'interaction propre à chaque cas. La structure d'interaction est définie comme une interaction interpersonnelle que l'analyste et le patient identifient l'un et l'autre comme répétitive et récurrente. Dans l'article de 2005, Ablon et Jones en donnent 2 exemples, en partant d'une analyse factorielle exploratoire des 100 items et de l'évolution longitudinale de chacun des facteurs pour 2 cas, à partir de l'analyse du discours et des interactions patient-thérapeute dans une séance pour chaque cas.
  • À partir d'études de groupe
  • - 1988. Décrire des relations particulières processus-résultats en fonction de certaines caractéristiques de départ du cas (sévérité, autre) [modérateurs]. L'article 1988 de Jones, Cumming et Horowitz montre l'ajustement de la psychothérapie pratiquée au degré initial de sévérité des patients.
  • - 1992. Décrire l'évolution longitudinale du fonctionnement psychique des patients au cours d'une psychothérapie. L'article 1992 de Jones, Parke et Pulos montre le déplacement graduel d'une présentation des difficultés personnelles centrée sur la réalité externe, vers une focalisation sur l'expérience interne et la relation avec le thérapeute. Les configurations des items confirment, à l'appui des résultats, que les traitements réussis sont caractérisés par ce genre de mouvement dans le processus de la thérapie (Relation processus-résultats).
  • - 1993. Décrire les véritables composants du processus susceptibles d'expliquer les résultats. L'article de 1993 de Jones et Pulos montre comment la thérapie cognitive peut être efficace en empruntant les ingrédients de la psychothérapie psychodynamique. C'est potentiellement une explication du fait que l'on ne trouve pas de corrélation entre le mécanisme explicatif supposé et le résultat.
  • - 1998. Situer l'approche psychothérapique réellement mise en œuvre par rapport à celle qui a été conçue par des experts de chaque théorie psychothérapique comme approche idéale et enregistrée comme "prototype". L'article de 1998 de Ablon et Jones montre que l'approche psychodynamique peut, dans les faits, être complétée par une approche cognitivo-comportementale. La situation inverse semble plus rare dans la mesure où le protocole TCC est observé de façon plus stricte, voire rigide, ce qui peut conduire à une détérioration de la relation thérapeutique (mise en évidence par l'étude de Castonguay et al. 1996). On peut également découvrir que, lorsque l'approche quantitative est complétée par une approche qualitative, les interventions "cognitives" deviennent difficilement différentiables de l'approche psychodynamique. Au niveau des résultats, il peuvent néanmoins être corrélés à un approche particulière (ici psychodynamique dans un des échantillons où les 2 approches sont exercées) ou à aucune (dans l'échantillon PTSD, ce qui laisse penser que l'approche efficace de base se situe dans une spécificité particulière). Cet aspect semble confirmé par les constatations incluses dans l'article de 1988 de Jones et al. portant sur cette même population PTSD. Finalement, ce qui est présumé être un traitement cognitivo-comportemental peut contenir des ingrédients significatifs psychodynamiques ou vice-versa, et ces interventions peuvent être ou non parmi les ingrédients actifs du processus de la thérapie. Cela peut aider à expliquer pourquoi différentes formes de traitement ont obtenu des résultats si strictement similaires dans les études traditionnelles de résultats.
  • - 2005. Démontrer qu’en dépit du consensus sur sa définition, il n’existe pas un seul processus psychanalytique mais, au contraire, qu'il y a des processus de changement propres à chaque dyade. L'article de 2005 de Ablon et Jones établit le concept de "structure d'interaction". Les auteurs considèrent qu'ils mettent à disposition une méthode et un instrument permettant de tester les différents modèles théoriques de la psychanalyse. Les structures d'interaction soulignent l'importance de l'intrapsychique comme base de ce qui devient manifeste dans le champ de l'interaction. Elles peuvent être observées en routine dans la pratique clinique.
  • Apports spécifiques du Q-sort soulignés par Jones et al.

    Jones, Cumming, Horowitz 1988
  • a) Le Q-sort fournit un langage de base pour la description et la classification du processus de la psychothérapie. Il apporte les moyens de caractériser systématiquement un large éventail d'interactions patient-thérapeute
  • b) La technique de cotation est ipsative, de sorte que les items sont évalués l'un par rapport à l'autre suivant leur saillance.
  • c) La valeur particulière de cette méthode est qu'elle peut à la fois capturer la singularité de chaque cas et permettre l'évaluation des similitudes ou des différences d'un cas à l'autre.
  • d) Le Q-sort ne se limite pas à mesurer les dimensions particulières de l'importance présumée ou théorique de la thérapie ; il permet, au contraire, de découvrir les associations ou les relations entre les différents aspects du processus de traitement.
  • e) De nombreuses échelles d'évaluation du processus utilisent comme unité de mesure de petits segments de séances de thérapie. Les juges tentent d'évaluer une dimension de pertinence présumée de la thérapie sur la base d'impressions relativement brèves. En revanche, avec la technique Q, c'est la séance entière, et pas seulement un petit segment, qui est l'unité d’évaluation.
  • Jones, Parke, Pulos 1992
  • a) Le PQS a été construit de manière à ce qu'une redondance minimum soit assurée entre ses éléments. Il n'y a pas de structure factorielle de l'instrument. Les interrelations qui peuvent émerger parmi les items Q sont destinées à varier selon les formes de thérapie, les types de patients, ou les étapes de traitement.
  • b) La description du processus dérivée de la méthode Q est à bien des égards compatible avec une conception transactionnelle. Chaque item-Q ou variable est utilisé comme un descripteur par rapport à tous les autres éléments, de sorte qu'ils définissent leurs rapports réciproques et leur contexte.
  • c) Le PQS permet aussi à des changements importants dans les structures ou les configurations dans le processus de la thérapie d'être retracés au fil du temps.
  • Jones et Pulos 1993.
  • a) L'utilisation de la séance de psychothérapie dans son intégralité a l'avantage de permettre aux juges cliniques d'étudier le matériel pour la confirmation de conceptualisations alternatives et d'évaluer la signification des événements qui se déroulent progressivement.
  • b) Très bonne validité inter cotateurs
  • Jones, Ghannam, Nygm, Dyer 1993.
  • a) Utilisation de l’analyse en séries temporelles avec le PQS

  • Dernière mise à jour : 21 juin 2018


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